Soprano - La Voisine

Publié le par Hillslion

Mademoiselle, dites-nous vraiment ce qui s'est passé

C’était un voisin si charmant si gentil
Il avait l’assurance d’un homme accompli
Il avait les mots pour nous faire sourire quand on lui confiait nos cœurs en débris
Il me disait souvent qu’avec sa femme
Il vivait l’enfer et que tout allait mal
Qu’il avait prévu de bientôt la quitter
Mais ce soir, j’ai compris qu’il nous mentait
Sa femme est rentrée plus tôt du boulot
En ouvrant la porte, sa vie a basculé
Les larmes aux yeux, elle se met à crier
Que fait-elle dans mon lit déshabillée
Il se lève du lit pour aller la calmer
Elle prend son sac et se met à le frapper
Il tombe au sol et elle se met à hurler

Je te souhaite tout le malheur du monde
Que mes douleurs te suivent jusqu’à la tombe (oh oh oh oooh oh)
Pour payer tout le mal que tu m’as fait
Tu n'm’auras plus avec tes beaux discours
Ce soir, j’encaisse plus, mais je rends les coups (oh oh oh oooh oh)
Pourtant, si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Pour payer tout le mal que tu m’as fait

C’était une voisine si charmante si gentille
Elle avait tout d'une femme épanouie
Elle avait les mots pour nous réconforter quand on lui confiait nos cœurs brisés
Elle me disait souvent qu’avec son homme
Elle vivait le bonheur à chaque seconde
Qu’elle avait prévu de bientôt se marier
Mais ce soir, j’ai compris qu’il lui mentait
Elle est rentrée un peu plus tôt du boulot
En ouvrant la chambre, sa vie a basculé
Les larmes aux yeux, elle se met à crier
Que fait-elle dans mon lit déshabillée
Il se lève du lit pour aller la calmer
Elle prend son sac, elle se met à le frapper
Il tombe au sol et elle se met à hurler

Je te souhaite tout le malheur du monde
Que mes douleurs te suivent jusqu’à la tombe (oh oh oh oooh oh)
Pour payer tout le mal que tu m’as fait
Tu n'm’auras plus avec tes beaux discours
Ce soir, j’encaisse plus, mais je rends les coups (oh oh oh oooh oh)
Pourtant, si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Pour payer tout le mal que tu m’as fait

Et moi, j’étais la voisine si gentille
J’avais tout d’une femme un peu fragile
Sur le palier, j’aimais lui partager les débris de mon petit cœur brisé
Il avait toujours les mots pour me soigner
Il me disait aussi que je le soignais
Il a fini par me dire qu’il m’aimait
Mais ce soir, j’ai compris que j’me mentais
Sa femme est rentrée plus tôt du boulot
En ouvrant la chambre, sa vie a basculé
Horrifiée, elle se met à me crier
Que fais-tu dans mon lit déshabillée
Il se lève du lit pour aller la calmer
Elle prend son sac et se met à le frapper
Il tombe au sol, elle se met à me hurler

Je te souhaite tout le malheur du monde
Que mes douleurs te suivent jusqu’à la tombe
Pour payer tout le mal que tu m’as fait
Tu n'm’auras plus avec tes beaux discours
Ce soir, j’encaisse plus, mais je rends les coups (oh oh oh oooh oh)
Pourtant, si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Si tu savais combien moi je t’aimais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Oui, pourtant, si tu savais
Pour payer tout le mal que tu m’as fait

Soprano - La Voisine

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P
Je ne connaissais pas du tout cette chanson
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